Faire payer ou taxer les clients d’un acte sexuel c’est la définition de la prostitution et/ou du proxénétisme. L’État devient un proxénète en prétendant -comment ?- lutter contre la traite sexuelle des êtres humains. La loi ne sera guère efficace dans la lutte contre le proxénétisme.
Les relations sexuelles entre adultes consentants ne sont pas interdites. En absence de consentement c’est du viol imposé sous la contrainte du client ou du proxénète !
Depuis de nombreuses décennies la consommation modérée de boissons alcoolisées est autorisée aux adultes : les excès, l’ivresse étaient condamnées et réprimées, autrefois, selon les affiches placardées sur les débits de boisson. Aujourd’hui la répression se limite à la conduite sous l’emprise alcoolique, même légère.
Les drogues, surtout les drogues dures -cocaïne, héroïne, LSD, ...- sont interdites et tout possesseur de drogue est supposé être un trafiquant et devrait se faire verbaliser ou emprisonner. POURQUOI TOUS LES CLIENTS CONSOMMATEURS OU REVENDEURS DE DROGUES NE SONT-ILS PAS SYSTÉMATIQUEMENT SANCTIONNÉS ? Ce serait une mesure radicale contre les trafics et l’usage des drogues. Les consommateurs de « coke » et autres stimulants seraient-ils trop nombreux dans les microcosmes, dans les hautes sphères de la politique, des médias, des arts, de l’économie et de la finance, pour ne plus faire appliquer la loi ?