Personne n’est parfait, Arnaud69, nous étions nombreux à avoir acheté et lu Marianne des années, durant. Un jour, il y a eu Nicolas BEDOS, le fils de... qui vous savez. Et c’est là que les choses ont commencé à se gâter.
Lire chaque semaine la prose du chroniqueur au style pompeux et ampoulé du petit Nicolas dont le fond était d’une vacuité sidérante m’a fait prendre conscience du degré de médiocrité et de décadence du brûlot. Son fondateur s’est démasqué dans une méprisable affaire de viol, impliquant son ami DSK, par des propos méprisants, irrespectueux, à l’égard d’une femme, noire, de condition modeste.
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