Il y a, comme ça, des polarités bien utiles. Elles alimentent les polémiques, les vindictes, et surtout elles permettent des conclusions empreintes de bonne conscience. Ah, la Palestine, quelle mine d’émotions ! Mais pour vous, c’est tout.
Je me (vous) pose la question : si Israël n’existait pas, si il n’y avait pas de juifs, de quoi perleriez-vous pour alimenter vos vaticinations ? Il faudrait aller se trouver des « bonnes causes ailleurs ». En cherchant bien, ça ne devrait pas manquer.
C’est un peu comme au temps de la guerre froide. Quand l’URSS a éclaté, tout le monde (ou presque) se trouvait sans bouc émissaire. Orphelins de bonnes causes. C’était insoutenable. Il a fallu recharger les bateries, pour aller aboyer ailleurs...