« vu à la télé, c’est que c’est vrai !! »
Permettez moi de vous appeler Robert, pas par défi mais pour nous rapprocher en toute innocence. Appelez moi Brice. Si, si, j’insiste. Et si tu veux, on se tutoie.
Cher Robert, tout ce que tu écris est « vrai ». C’est le « vrai » reflet de Dieudonné. En tout cas, c’est TON interprétation du « vrai » reflet. Voici la mienne.
Qui dit « reflet », dit « image inversée ». Ah les apparences... Ah ces artistes... Tous des menteurs ! La comedia del arte, tu connais bien sûr ? Ce que je vois de ce reflet, c’est l’original qui singe (pardon Dieudo, non, tu n’es pas un gorille pas plus que Taubira n’est une femelle bonobo) l’image que lui a enfilé de force le système pour le bannir et le faire taire. Je ne dis pas ça pour éclairer ta pensée que je sais limpide mais peut être que cette information t’es inconnue, alors je développe.
Voici cette information. Dieudonné s’est engagé dans un combat, il y a plus de 12 ans, raison pour laquelle il s’est séparé d’Eli (son ami pour la vie), contre le plus gros réseau mondial d’infamies contre l’humanité dans ce qu’elle a de plus innocent, les enfants. Ce réseau est organisé, structuré et protégé par des élites infiltrés dans TOUTES les institutions de NOTRE République. Ce réseau est alimenté en « chair fraîche » par des réseaux mafieux qui enlèvent, torturent, violent et tuent des enfants.
Robert, tu es un homme qui n’a plus à démontrer son courage, mais s’il est un combat,
que penses tu de celui-ci ?
/ Là, j’ai vu une femme montant une bête écarlate, couverte de noms blasphématoires, qui avait sept têtes et dix cornes. Cette femme était vêtue de pourpre et d’écarlate, et chamarrée d’or, de pierreries et de perles ; elle avait à la main un gobelet d’or rempli d’abominations, avec les souillures de sa prostitution. Sur son front un nom était inscrit, mystérieux : « Babylone la grande, mère des prostituées et des abominations de la terre ». Et j’ai vu la femme ivre de sang des saints et de celui des témoins de Jésus. En la voyant, j’ai été saisi d’un étonnement extraordinaire. /
Robert, comment t’y prendrai tu si c’était ton combat ?
Je ne dis pas que ce que j’écris est LA vérité. C’est juste ma version du « vrai » reflet.
Mais ce n’est qu’un reflet.
Amitié, Robert.
Brice.