Dans le documentaire « les dernière heures du président Houari
BOUMEDIENE »(1er partie 23mn), Abelmalek KERKEB confirme que lors du
quinzième sommet de l’OUA de Khartoum (Soudan) en 1978, BOUMEDIENE était
dans « un état de nervosité extrême, qu’il n’arrivait plus à se
contrôler »... Ceci au sujet du problème du Sahara. Cela rejoint le
témoignage de Jean Daniel. Ainsi, dès le départ, dans l’approche
qu’avait la
nomenklatura Algérienne du Maroc et de son intégrité territoriale, il y avait
quelque chose de pathétique. C’est ce qui explique que dès lDans le
documentaire « les dernière heures du président Houari BOUMEDIENE »(1er
partie 23mn), Abelmalek KERKEB confirme que lors du quinzième sommet de
l’OUA de Khartoum (Soudan) en 1978, BOUMEDIENE était dans « un état de
nervosité extrême, qu’il n’arrivait plus à se contrôler »... Ceci au
sujet du problème du Sahara. Cela rejoint le témoignage de Jean Daniel.
Ainsi, dès le départ, dans l’approche qu’avait la
nomenklatura Algérienne du Maroc et de son intégrité territoriale, il y
avait
quelque chose de pathétique. C’est ce qui explique que dès le 18 décembre 1975, quelques
semaines après la Marche Verte qui a permit au Maroc de recouvrir son unité
territoriale par le rattachement de ses provinces sahariennes du sud, Houari
BOUMEDIENE ordonne l’expulsion massive de 45 000 familles marocaines (350000 personnes), pour la
plupart établies depuis des générations en Algérie. C’est ce qui explique les
milliards que les pouvoirs algériens successifs ont dépensé pour
armer et soutenir le Polisario, contre l’intégrité territoriale d’un
pays
frère. Est-ce que cette énergie et ces milliards n’auraient-ils pas été
plus profitables à l’union et au développement du Maghreb ?