Le moins que l’on puisse dire est que la phrase de Voltaire n’est guère mise en application dans le magma politiquement correct monocorde que l’on nous assène depuis des années. Certains adorent la bouillie Libé+Télérama+Le Monde qui répétent ad nauséam les mêmes poncifs, s’arrogent le droit de décider de là où est le bien, le mal, la culture, les beaufs, là où doit aller l’argent public, ce qu’il faut dire et ce qui est de l’ordre de l’innominato, pondre des articles et des reportages violoneux sur la grandeur des actions de certaines assocs ( toujours les mêmes, celles des copains) et sur la psychiatrie malsaine des électeurs de certains mouvements politiques ( et comment il faudrait les rééduquer dés l’école)
Dites, vous n’en n’avez pas marre que l’on vous prenne pour un gogo avaleur de prêt à penser ?