Je lirai le texte du CFCM mais déjà, en lisant ce
qu’en a tiré Christian Labrune, et par ailleurs le commentaire de JeanCorseul,
on se dit qu’en France on va peut-être enfin réfléchir sérieusement sur
l’islam, c’est-à-dire reconnaître avant tout son évidente dangerosité, puis
trouver à l’intérieur de cette religion elle-même des membres décidés à la
combattre, cette dangerosité, avec les citoyens de toutes natures spirituelles,
religieuses ou pas mais humainement acceptables, qui sont à l’extérieur.
Rêvons un peu mais sans vouloir ignorer ce qu’expose
très bien JeanCorseul : cela tiendrait du miracle puisqu’il s’agirait avant
tout de détruire les solides barrières originelles, mises en place par le
prophète Mohamed et les rédacteurs du Coran, précisément pour qu’une telle
démarche soit absolument impossible.
Quoi qu’il en soit je crois pour ma part que, dans
les sociétés démocratiques, la solution ne peut être sérieusement recherchée
tant que les gouvernants restent dans le déni de la réalité islamique et dans la lâcheté qui leur fait prendre des décisions, pour
satisfaire les islamistes de toutes tendances (dont celle, pacifique, de Dalil
Boubakeur et du CFCM) contraires à ce qu’exige leur devoir de dirigeants laïcs
et républicains officiellement attachés aux Droits humains.
Voici ce que j’en disais dans mon plus récent
article sur le sujet (*), rédigé sous forme de lettre à un démocrate pensant
qu’il faut nuancer la critique de l’islam :
Sans la couardise des dirigeants français des partis de
gauche (toutes tendances confondues) comme de droite, sans la
complicité de nombreux journalistes, de nombreux spécialistes des religions et
intellectuels divers, sans celle, même, de juges qui acceptent de
condamner pour islamophobie au lieu de condamner les élus corrompus affectant
des capitaux publics à la construction de nouvelles mosquées (ce qui est un
comble dans un pays qui se dit officiellement attaché à la laïcité
républicaine) bref, sans la trahison de la laïcité par ceux qui ont le
devoir de la faire appliquer, on ne serait pas tombé aussi bas dans l’abandon
de nos plus précieux acquis.
Et il n’y aurait pas, dans les pays
déjà soumis à l’islam, chez les démocrates aspirant à la liberté de pensée, à
la laïcité, à l’égalité des femmes et des hommes, un terrible sentiment d’avoir
été trahi par la France républicaine dont ils attendaient tant.
Et il n’y aurait en France, parmi les
immigrés venus de pays fortement islamisés (c’est-à-dire de pays où la plus
importante des lois pratiquées est le ferme refus de tout ce qui ressemble
de près ou de loin à la laïcité et à la libre pensée) il n’y aurait que
ceux qui acceptent les lois, les règles et les traditions du pays d’accueil,
les autres renonçant à islamiser un pays qui résiste, et retournant dans leur
pays d’origine (ou choisissant d’aller conquérir pour Allah, comme leur
prophète Mohamed et les rédacteurs du Coran leur font un devoir de le faire,
un pays plus fragile). Il n’y aurait que d’anciens Marocains, Algériens,
Tunisiens, Turcs, Iraniens… tout aussi intégrés et tout aussi agréables à
fréquenter que les ancien Italiens, Espagnols, Portugais, Polonais… devenus
Français au siècle dernier.
(*) http://ripostelaique.com/le-nouveau-negationnisme-fait-des-ravages-chez-certains-lecteurs-de-riposte-laique.html