La différence c’est que dans les années 70, les non-diplômés n’avaient aucune difficultés à trouver du travail. Aujourd’hui et depuis un certain temps déjà, la médiocrité de l’éducation des masses m’apparait être une volonté d’abêtir le bon peuple. Parce qu’évidemment, moins il est instruit, moins il est dangereux. L’excuse à peine voilée qui fût avancée, était qu’un certain nombre d’enfant issus de l’immigration n’avait pas vraiment le niveau et qu’il fallait leur donner un p’tit coup de pouce. Mais cette excuse ne tien plus s’agissant de l’antépénultième génération née ici. Le bac lui ; n’est qu’une clé pour ouvrir quelques portes. Mais la clé est de plus en plus petite et ouvre de moins en moins de portes...