Bonjour à vous.
En définitive, dans cette triste affaire, il n’y a pas eu d’« assassinat ». Pour qu’il y ait « assassinat », il faut qu’il y ait un « assassin ». Or, une seconde avant le drame, l’auteur des faits était une paisible mère de famille sans histoires, et une seconde après le drame, c’était une personne déficiente mentalement, donc à soigner à nos frais. En Socialie, il faut s’accoutumer à ne pas dire ce que l’on voit. Il n’y a pas d’assassins, il n’y a que des victimes. Tout au plus tolèrera-t-on quelques méchants, à condition que ceux-ci soient ou friqués, ou racistes.
Reste à aller expliquer à la famille de la victime qu’ils n’ont tout simplement pas eu de pot et que leur être cher n’a été victime que d’un « accident social ». Et au suivant...