A l’instar des banques prédatrices « Too big to fail », ne serions nous pas ici en face de la même logique ?
Le projet pharaonique a dévoré tant d’argent public, pendant une telle durée qu’aucun des bailleurs ne serait prêt à envisager de laisser tomber et s’asseoir sur les milliards engloutis. Sans compter la honte absolue de reconnaitre d’une façon ou d’une autre, qu’on s’est laissé balader..
Je pense aux Avions « Renifleurs », aux Pieds-Nickelés du Rainbow Warrior et autres pantalonnades nationales sur lesquelles on n’a jamais rien eu comme informations...