@ l’auteur
sans entrer dans les débats socio-phylosophiques tentant de cerner les aspects construits ou artificiels de la notion des identités nationales, bien en peine face à la domination d’un consumérisme mondialisé et d’une future de masse uniforme au travers de la production des stéréotypes (ou e clones) comportementaux,
il existe bien un rémanence des caractères acquis , revendiquée ou dénoncée selon l’appartenance politique,
Karl Marx analysait juste, sur ce sujet, définissant la bourgeoisie en tant que classe considérant héréditaires ces mêmes caractères acquis
les principes conducteurs du MKG et MGT idem : A Think Global, Act Local
Un Allemand se différencie immédiatement d’un Anglais ou d’un Italien,
notre propre acquis culturel, entremêlé de sublime et de misère, pourtant dénigré par nos propres concitoyens, n’en demeure pas moins reconnu par les autres nations (du moins cela peut dépendre de la nature de vos interlocuteurs)
étrange paradoxe d’une nation vouée à une forme d’auto-flagellation induite quasi pathologique et paralysante
Un élément vient conforter cette thèse,
les réactions ou commentaires de visiteurs étrangers venant d’Asie, du Moyen Orient , Amérique Latine ou Afrique qui savent souvent nous surprendre en relevant les particularités ou qualités parfois ignorées de notre propre héritage culturel.
De manière semblable et avec le même tac que nous le faisons avec des Coréens, Japonais,Sénégalais, Sud Africains en abandonnant les préjugés liés à une appartenace géographique réductrice.