Najat c’est l’éléphant dans le magasin de porcelaine. C’est aussi le soudard, le bourrin, qui fraichement invité vient s’asseoir dans le fauteuil du maitre de maison et poser ses soulliers merdeux sur la table à manger.
Elle ne ferait pas le dixième de la subversion idéologique qu’elle deploit avec maintes efforts ici en France, dans sa véritable patrie de coeur qu’est le Royaume cherrifien, et avec lequel elle entretien encore des liens très intimes politiquement.
C’est d’ailleurs tout ce que l’on peut lui reprocher : le deux poids deux mesures, le double standart, le double discours qu’elle déploie en France comparativement au silence assourdissant qui caractérise ses sorties à l’attention de son ex-futur-employeur.
Sans doute est-elle allée à bonne école. Comprenne qui pourra.