Notons également que cette américanisation rampante dépasse le cadre de la simple image : Nicolas Sarkozy (faute d’un entourage compétent ?) a fait appel au Boston Consulting Group (1),
une boîte américaine de conseil en management stratégique (fusion, délocalisation, etc. (2) ) pour élaborer son programme économique et dont l’un des dogmes est « notre pouvoir d’influence n’a pas de limites. » (3)
La France, 51ème état dans la galaxie économique américaine ? Ah, rêve américain, quand tu nous tiens...
(1) http://www.lefigaro.fr/election-presidentielle-2007/20061106.FIG000000304_comment_sarkozy_a_prepare_son_programme.htm l
(2) http://www.bcg.com/
(3) « Il n’y a pas de limite à notre influence » (en bas de page)
http://www.bcg.be/05OurTeam/5_3.asp