C’est la première fois que je vois établi un tel parallèle : l’hypothèse est intéressante, mais si l’impact du « simple » refroidissement des réacteurs sur les températures me semble indéniable, je n’ai certes ni compétences, ni moyens techniques de le quantifier.
Serait-elle même étayée, je crains bien que la puissance économique du lobby nucléaire et son étroite collusion avec les autorités, empêche tout enquête indépendante en ce sens.
Sans même parler des innombrables incidents « mineurs » impliquant des relâchements d’isotopes radioactifs dans l’environnement, Il suffit de voir comment ont été magistralement palliées et étouffées les séquelles environnementales et sanitaires majeures des catastrophes de Tchernobyl et Fukushima.
A moins de se voiler la face, il semble fort présomptueux de se sentir en sûreté sur une planète à ce point dépendante énergétiquement d’un feu nucléaire dont le contrôle reste à soumis aux aléas d’une erreur de probabilité ou plus généralement de notre propre imperfection d’apprentis sorciers.