Il faut exiger de toutes les religions qu’elles désacralisent la conception violente, criminogène, qu’elles ont encore aujourd’hui de leur Dieu.
En réaffirmant que c’est bien Dieu qui a commandé les massacres qui lui sont attribués dans l’Ancien Testament - dont le très explicite ordre de procéder à un très explicite génocide dans le Livre de Josué - le judaïsme et le christianisme restent indirectement criminogènes.
Et le pape ment quand il proclame solennellement qu’on ne peut pas tuer au nom de Dieu alors que le catholicisme enseigne seulement qu’on ne peut plus le faire.
L’islam, lui, reste directement criminogène quand il enseigne qu’il faut continuer de tuer jusqu’à la totale soumission des peuples de la terre à son Dieu Allah.
Les athées sectaires qui ricanent en disant que « de toutes façons tout ça c’est des conneries » ne sont nullement utiles à la désacralisation des croyances criminogènes et à la pacification du monde, notamment de la France.
Ils se font au contraire, eux aussi, les complices du pouvoir en place, des hypocrites de la fausse gauche et des médias dominants, des sarkoziens qui ont, les premiers, insisté sur la grossière contre-vérité présentant l’islam comme une religion compatible avec les Droits humains, la laïcité, l’égalité des femme"s et des hommes, la liberté d’expression, le droit de choisir sa religion, le droit d’en changer, le droit de ne pas en avoir.