Sarkozy et ses conseillers cherchent à tout prix à faire oublier ses liens avec les extrémistes néo-conservateurs et les plus radicaux de l’aministration Bush.
La ’rupture’ de Sarkozy a pour origine l’idéologie néo-conservatrice. En anglais les néo-conservateurs, ces ex-troskistes devenus quasiment fascistes appelent leur concept de rupture ’clean break’.
Sarkozy est un néo-conservateur qui avance masqué.
Les français tomberont-ils dans le panneau et éliront-ils un néo-conservateur, un French Bush, sans vraiment s’en rendre compte ?
On verra.