« ...ont convaincu ces damnés de la terre qu’ils ne font pas partie de la communauté nationale. »
C’est ce qu’il se passe quand on importe des populations qui ne sont faites pour vivre ensemble que superficiellement parmi la cominaité d’accueil : le « placage » ne tient pas longtemps.
N’oublions pas qu’après cent trente de présence européenne très minoritaire, l’indépendance de l’Algérie a été accompagnée d’une épuration ethnique pratiquement intégrale.
La faute principale de la situation actuelle incombe donc aux politiciens irresponsables qui ont refusé de comprendre que la France maghrébino-subsaharienne n’avait pas plus de chance de réussir que l’Algérie française.
Et, ici, le problème est double si l’on considère les phénomènes de rejet généralisés que les Subsahariens subissent de la part des Maghrébins, comme les journaux algériens et marocains s’en font régulièrement l’écho.