Si on ne laissait pas se propager, dans la musique, le cinéma et le jeu vidéo, une sous-culture de merde, recyclée des ghettos U.S., qui valorise le prédateur, le proxénète voire l’assassin, m’est d’avis que certains comportements agressifs s’atténueraient. Comportement qui, d’ailleurs, est le meilleur tribut à la sacro-sainte société de consommation. Mais proposer aux jeunes des rôle-modèles comme Joey Starr, qu’on ne s’étonne pas des passages à l’acte.