Fichtre, cette idéologie risque de s’écraser sur le mur des réalités.
Réduire la santé à une santé citoyenne eugéniste qui éliminerait les personnes aux comportements « déviants » est assez inquiétant.
Qui, dans ce système, déciderait de la « norme », de la « normalité » ? des fonctionnaires statisticiens ? des médecins épidémiologistes ? des commissaires du peuple ?
votre contribution à au moins le mérite de lancer le débat.
Il y a quelque chose de pourri au royaume de la liberté...