Franchement, en dehors d’un conflit mondial qui mettrait en lumière la complicité des médias comme ce fut le cas lors de la 2eme guerre mondiale, je ne voit pas la caste des journalistes (parce que dans le cas d’espèce, ça en est bien une) faire le moindre acte de contrition sur le sujet.
Ils se sont beaucoup trop investi la dessus pour pouvoir admettre la moindre responsabilité.
Lordon qui lui n’est pas journaliste - mais toutefois un ami du diplo - a livre dans le cas d’espèce le papier le plus courageux que l’on puisse y trouver