C’est une bien belle brochette de racistes, antisémites et négationistes qui vient de défiler à la barre. Messieurs les pseudos historiens et philosophes au rabais, vous pourrez essayer d’intellectualiser vos positions tant que vous voudrez, elles n’en seront pas moins nauséabondes pour autant.
Heureusement, même en Iran il reste encore des hommes pour s’élever contre cette « conférence de la honte ».
Voici un extrait de ce qu’en pense Sadeq Ziba Kalam, 57 ans, professeur de sciences politiques à l’université de Téhéran :
« Les opinions racistes, antisémites et néonazies semblent être en effet le seul lien qui unisse les personnes conviées à cette conférence. On se demande bien quelle gloire nos autorités pourront tirer du fait que l’Iran islamique soit désormais associé au néonazisme. L’argument avancé pour justifier la tenue de cette conférence à Téhéran serait que nous jouissons chez nous d’un droit à la liberté d’expression que les participants à cette rencontre se voient refuser dans leur pays. Or, non seulement cette conférence ne rehausse pas la réputation de l’Iran dans le domaine de la liberté d’expression, mais, en plus, la proximité affichée avec des néonazis et des antisémites nuit gravement à l’image déjà écornée de notre pays auprès des Européens ... »
Messieurs les racistes et antisémites refoulés qui essayez plus ou moins directement de justifier cette horreur que vous oser appeler « conférence », à votre place j’irais me cacher au fond d’un trou.