Faire chier la NSA, en plus d’y croire il faut avoir le temps mais bon chacun ses marottes.
Je passe sur l’aspect parano de l’article ou nous serions tous surveillés, le clic du téléphone après bombe est symptomatique de cette tendance qui assimile un incident technique, une mauvaise communication à une intervention des services de renseignements.
Il est assez flatteur pour le révolutionnaire en chausson, l’activiste en retraite ou le anti-quelquechose de se croire surveillé, épié, espionné dans ses moindres mouvements.
J’adore l’idée du mobile qui reste fixe à la maison, c’est un peu de la poésie ...