Cela ne va pas être simple de vivre en Europe. Encore un privilège que l’État est en train d’abandonner aux financiers, ce qui est pure folie, si l’on en juge comment ces messieurs gèrent leurs petites affaires ; délocalisation des bénéfices, relocalisation des pertes (histoire de gratter quelques subsides de l’État c.ocu), et utilisation systématique de fusibles pour le cas où il y aurait un problème par trop voyant.
Pour tenter de survivre, les plus défavorisés ne pourront travailler au noir (mon dieu, quelle horreur, qu’est ce que j’écris la ? ), ni vendre leurs derniers biens en brocante pour tenter de survivre. Ni bien sur avoir de compte bancaire ; ce seront des émigrés dans leur propre pays. A moins que le troc...
Et après la ponction fiscale, la ponction sans frein des frais bancaires. Et pas question de se prémunir d’une éventuelle faillite bancaire, tout y passera. Et je passe sur les pannes, électrique, informatique, etc. qui tomberont toujours « à pic », et que personne ne pourra décemment prévoir.
Enfin, bien sûr, n’oublions pas le doux délire ambiant de la surveillance tous azimuts, et des lois aussi liberticides qu’absconses, soi-disant pour lutter contre la criminalité, le terrorisme, etc., qui constitue en fait le but final de cette suppression programmée du cash, par nos (très chers) dirigeants. Très chers au sens de « qui nous coûtent très cher », vous l’aviez tous compris. Je ne sais pas ce qui peut faire le plus peur, entre le terrorisme et cette société que l’on nous mijote sans débat démocratique. A quoi bon aller voter, si ce n’est que pour cautionner ad libitum ce système ? Il serait plus logique d’élire directement ... les banquiers, qui eux, détiennent désormais les vraies manettes, vous ne croyez pas ?