Bien que je ne sois pas en accord avec l’esprit de l’article et quelques exagérations faciles, ce n’est hélas que la triste réalité.
J’ai connu les anciens immigrés dans les années 60. c’était des gens, pour la plupart, sympathiques, vêtus à l’Européenne, calmes et travailleurs avec une forte envie d’intégration et un islam plus que discret.
J’ai connu leurs enfants qui étaient les copains de l’école primaire, avec lesquels j’ai grandi et qui n’avaient qu’une idée : Réussir mieux que les parents pour ne pas travailler chez Renault. L’islam ils s’en fichaient totalement.
Puis j’ai connu la 3ieme génération en tant qu’animateur pédagogique dans une commune de Seine saint Denis que l’on n’appelait pas encore le 9 / 3.
Cette génération apparaissait déjà comme une génération révoltée, pas encore réellement islamisée, mais l’islam était de plus en plus présent sous la forme visuelle de djellabas, de bonnets, de barbes et de quelques femmes voilées. On ne parlait pas encore de ghettos mais beaucoup de Français de souche quittaient les cités HLM. Le Rap émergeait.
En plus de l’immigration « institutionnelle » magrébine, on vit arriver de plus en plus de migrants issues de l’Afrique subsaharienne.
Là, même scénario : Parents cools, mais déjà la première génération, au contact de l’islam va se radicaliser et s’intégrer dans les quartiers. Il en résultera un métissage qui tend à s’étendre de plus en plus.
Puis vint la 4ieme génération, fortement communautaire, radicalement
islamisée, rejetant toute intégration et faisant de ces quartiers des
zones de non droit ou la loi islamique est devenu la norme.
On connait la suite, nous sommes en train de la vivre.
Pour info, et ces chiffres sont facilement vérifiables, 61% des naissances en Ile de France en 2014 sont issues de l’immigration musulmane.
Grâce aux études médicales faites sur la drépanocytose, les chercheurs prévoient 50% des naissances issues de l’immigration musulmane sur l’ensemble du territoire national à l’horizon 2050.