Voter, c’est cautionner. Quiconque adhère encore à l’imposture intrinsèque du suffrage, ce cadenassage des nations par le Capital, perd ipso facto le droit de se plaindre.
Les deux partis de notre bipartisme totalitaire, en son alternacialisme sinusoïdal, sont tous des mafias. Le peu qu’il nous reste de liberté sera sauvé contre la politique, par désertion catégorique des foules... en attendant l’éternel retour du concret : la guillotine !
Serrons les dents, et retroussons-nous les manches pour apprendre à vivre malgré le Pouvoir évidemment fasciste, dont le projet est de nous rendre - c’est chose faite, par la fausse monnaie et l’impôt - esclaves de la ploutocratie régnante.