Merci pour cette « excellente » mise au point.
L’auteur fait ressortir de façon admirablement perspicace l’emploi fallacieux, impropre et même malhonnête
de certains mots, certains termes.
J’aimerais bien soumettre au polygraphe cette dame, Marielle
Timme.
Je crois que ce pourrait être révélateur.
Je trouve indécente l’utilisation de cette tragédie pour
promouvoir cette sorte d’endoctrinement politique.
À force de vivre selon ces choses que l’on nomme
volontairement mal, on en vient à forger une fausse réalité qui a pour
conséquence de nous faire fermer les yeux sur le profil de ceux qui commettent
ces actes terroristes répugnants et inadmissibles.
Oui, Camus a bien raison, nous le constatons : "Mal
nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde"
Merci pour ce texte qui précise très bien les choses.
Serge Charbonneau
Québec