Bonsoir Thierry SALADIN.
En ce qui concerne l’UPR, les solutions que vous préconisez avaient été méprisés par Asselineau et son bureau national depuis déjà pas mal d’années. Du coté des militants il faut être conscient que les plus combatifs ont quittés ce parti depuis belle lurette. Enfin, ayant personnellement connu un compagnon de la libération quand j’étais jeune, je peux vous dire qu’il ne s’agit pas de la même catégorie de personne.
La libération ne viendra pas des organisations politiques monolithiques comme celles-ci. Il est tout de même possible que le paradis européiste implose faute de bons résultats. D’ailleurs si l’oligarchie cherche à diviser la population en pratiquant la stratégie de la terreur, c’est signe que la sérénité n’est pas au rendez-vous. En attendant de plus en plus de jeunes développent des compétences politiques grâce aux échanges citoyens qui restent possibles sur Internet. La dictature des marchés qui sévit actuellement dans le monde « libre » s’effondrera comme un château de carte probablement de manière inattendue, mais ce ne sera pas grâce au sens politique des petits chefs.