Il faut distinguer dans ces chiffres macabres, les bombardements entre l’armée loyaliste syrienne (Assad) qui visent des objectifs militaires et ceux des rebelles qui visent délibérément la population civile.
De toute façon, les victimes imputées au régime de Bashar al-Assad, pâlissent en comparaison de celles en Irak non seulement pendant et après l’invasion, mais aussi lors de l’embargo pre-2003. Madeleine Allbright avait même justifié la mort d’un demi million d’enfants.
C’est la même Allbright qui lors d’un meeting hier a menacé les femmes qui ne voteraient pas pour Hillary Clinton, « qu’elles ont une place en enfer ». Bien sur, on ne va pas en enfer lorsque l’on est responsable de la mort de 500 000 enfants ?, on a envie de rétorquer à la toute « brillante » Allbright ...