Je lis : ’’Il serait intéressant dans les mondes virtuels de tenter de réaliser un genre de conscience en s’inspirant du modèle holographique qui devrait être programmable’’
Là encore, c’est du grand n’importe quoi, et je le démontre : la spécificité des hologrammes c’est que le tout est dans les parties, même les plus infinitésimales.
Or, simuler la complexité aboutit rapidement à construire des usines à gaz ! En l’occurrence, ce serait le contraire de ce que l’on chercherait, à savoir, la structure holographique de l’artefact ! Au lieu d’aller vers l’infinitésimal on irait vers le phénoménal !