Il faut lire la perplexité des quatre psychiatres norvégiens, qui ont eu à se prononcer sur la pathologie d’Anders Behring-Breivik :
http://citoyens.deontolog.org/index.php/topic,1868.0.html
http://citoyens.deontolog.org/index.php/topic,1578.0.html
http://deonto-famille.info/index.php?topic=42.0
Au bout d’un siècle et demi d’une relation quasiment incestueuse, la
justice et l’expertise psychiatrique judiciaire ne se dépêtrent pas à
elles seules de leur impasse.
Elles n’ont pas encore réussi à
considérer les catégories des pervers, très vite psychotiques pour le
restant de leurs jours, et extrêmement nocifs, et qu’il serait fort
dangereux et complètement irresponsable d’exempter de leurs
responsabilités pénales.
Là Jacques Prévers et Coluche seraient d’accord post-mortem : le monde mental ment monumentalement, et il y a des questions bien trop graves pour les abandonner aux seuls spécialistes.
Auteur
de crimes monumentaux, longuement et minutieusement préparés, Anders
Behring-Breivik est un criminel, meurtrier de masse, avec préméditation,
sans aucune circonstance atténuante. Point.
A la psychiatrie de
théâtre et de tribunal de se mettre à jour dans son métier, de rattraper
un siècle et demi de fautes professionnelles télécommandées et
grassement rétribuées.