Cette affaire montre surtout à quel point c’est facile de manipuler son monde en criant n’importe quoi et le plus fort possible. Franchement, si les russes avaient mis la main sur ces emails, en faisant l’hypothèse qu’ils ne sont pas complètement cons, on peut penser que :
1) ils ne les auraient pas balancé en bloc au moment où les jeux sont faits et juste avant qu’Hitlary dispose d’une fenêtre médiatique d’une semaine pour se défendre, et
2) ils n’auraient pas laissé des métadonnées qui les accusent.
Assange s’est fait avoir comme un bleu sur ce coup.