On est d’accord : il y a 50 ans, quand il a prononcé ce discours, Fidel était un mec bien.
Puis l’ivresse du pouvoir et la conviction qu’il était supérieur aux autres ont conduit Fidel à devenir un dirigeant autoritaire et déconnecté de son peuple.
Et aucun de ces gentils humanistes débranchés comme Oscar Fortrin n’a dénoncé cette dérive malsaine, et ils se sont transformés en affreux cireurs de pompe du mégalomane qu’ils n’osaient critiquer.
Médiocrité intellectuelle, couardise, peur de tacher leurs rêves ou simple aveuglement ? Va savoir.