Vous avez écrit « fort intérieur » sans doute par référence aux défenses que le jeune s’est créées. Mais on écrit « for intérieur » quand il s’agit de la conscience.
Ce témoignage est intéressant. A noter toutefois l’humour limité des travailleurs sociaux soumis à un carcan de règles déontologiques et qui ne s’autorisent que quelques blagues bon enfant pour ne heurter personne. D’où le sentiment d’être désarçonné devant les mots d’esprit d’un jeune qui manifeste par là un certain don de créativité. Une exception quand même : la revue professionnelle « Lien social » où les dessins sont très « provoc » et « border line » ! (voir leur site internet)
Je reste convaincu que la notion de contrat est la base du travail éducatif et donc la demande aussi même si cette demande peut n’être qu’implicite, non formulée comme c’est le cas ici avec Ismaël.