Bonjour,
je ne voudrais pas importuner avec ma modeste intelligence mais je pense que vous faites une erreur d’interprétation au sujet de l’article de la constitution concernant le report d’une élection en cas de décès ou d’empêchement.
pour cela il faudrait qu’on se mette d’accord sur le sens constitutionnel du mot empêchement.
dans la mesure ou la présomption d’innocence est une règle d’or, nul ne peut empêcher la candidature d’une personne à partir du moment que celle-ci a plus de 18 ans et qu’elle jouit de ses droits civils et constitutionnels.
ce qui veut dire qu’une même une personne reconnue coupable peut être candidate si elle n’a pas perdu ses droits civils et constitutionnels. Après, ce sont les 500 signatures nécessaires qui déterminent si le candidat est digne de se présenter devant les français ou pas.
que M Fillon ait choisi de lier son destin présidentiel à une possible mise en examen, c’est une décision qui lui revient à lui seul mais en aucun cas cela pourrait être considéré comme un empêchement. Ce serait en son âme et conscience qu’il le ferait.
après tout M Sarkozy a bien été candidat à la primaire tout en étant mis en examen dans quelques affaires et cela ne semblait pas le soucier plus que ça.
Enfin, c’est comme ça que je l’entends.
bien sur je peux me tromper.
ce qui veut dire qu’il est possible que le parti « les républicains » se retrouve sans candidat si M Fillon est mis en axamen après le 22 mars et que ce dernier respecte son engagement...
ou que M Gaino trouve 500 signatures et sauve la face de son parti.
cordialement.
Pytheas.