Je n’ai pas lu l’intégralité de l’article.
A quoi bon ?
Juste quelques passages qui m’ont confirmé ce dont, ayant appris à comprendre le « mode de fonctionnement » de l’auteur, je me doutais : ce texte n’a pas vocation à figurer dans la rubrique « fictions ».
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Ce qui m’interpelle c’est l’intérêt que Fergus peut trouver à pondre un tel article.
(à part le simple plaisir de reproduire les incessants bras de fer qui lui permettront de faire une nouvelle fois la preuve de son incapacité à « écouter » ses interlocuteurs.)
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Qu’il continue à gober béatement la doxa des chiens de garde et de leurs prédictions divinatoires malgré les « vautrages » à répétition de plus en plus flagrants et évidents reste son droit le plus absolu.
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Il est tout autant libre de considérer que la « solution » qu’il préconise est la meilleure ce qui est pour le moins discutable.
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Mais qu’il ne comprenne pas qu’elle est tout simplement IMPOSSIBLE me dépasse !!!
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Et donc, quel intérêt peut-il y avoir à déblatérer des heures pour savoir ce qui pourrait se produire SI....
Avec des « si »... on met Paris en bouteille (ou on coupe du bois).
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C’était, c’est et ça restera impossible ! (et pour de multiples raisons)
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Alors ce qui serait bien, Fergus, serait que vous tourniez la page et que vous mettiez votre génie inventif (créatif) au service de la recherche d’une solution ...si pas !
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Au lieu de consacrer votre énergie à vous lamenter de ce qui ne se produira pas, la meilleure solution ne serait-elle pas de vous efforcer à convaincre de voter FI ?... si comme vous l’affirmez régulièrement, vous pensez que cela correspond à vos convictions.
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Et si cela peut vous y aider sachez que je considère que Mélenchon est le principal responsable de la situation actuelle.
En 2011/2012 quand les médias lui posaient une question où pour une fois il aurait pu répondre de façon binaire, ce qui aurait permis de clarifier les choses, il a préféré s’embarquer dans des réponses plus « politiquement correctes » mais non moins emberlificotées.
La question (posée à de multiple reprises) était :
« Considérez-vous que François Hollande et le PS sont [encore ?] »de gauche«  ? »
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Au lieu de répondre simplement « non » (et de profiter de ses talents de débatteur pour enfoncer le clou) il s’est chaque fois fondu de réponses alambiquées, ménageant la chèvre et le chou.
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« L’acte manqué » d’un ex socialo repenti ?