De mon temps le communiste Georges Marchais, une des plus grosses fortunes de France, avec son lobby de bobos, niait l’existence des goulags au point de dresser un procès à un réfugié russe auteur d’un livre sur les goulags.
Après la chute du mur et Tchernobyl, la devise des bobos n’a pas changé d’un iota : jouir à fond d’un système qu’ils font semblant de dénoncer.
Notre cher Bové, humble paysan de la Silicon Valley, plus occupé à arracher des plantes qu’à en semer, est un noble représentant de cette caste.
Incapables de se rassembler en un mouvement cohérent, les divers gôôche sont une demi douzaine de parti à 2% qui nous crient famine tout en se payant x campagnes présidentielles à x millions d’Euros !