@IBB
Concernant le président de la république : vous savez bien qu’il y a ceux que la loi n’atteint pas. C’est malheureux et c’est ainsi : nous sommes tous des citoyens,
mais certains au dessus de la mélée.
Concernant José Bové : le « cas » José Bové souléve un probléme de plus en plus visible :
le dénit et la comdamnation morale des décisions de justice.
En effet quoi qu’on pense du combat de José Bové,
la justice juge sur des faits.
En l’occurence, l’atteinte,la dégradation et la destruction de biens privés, destinés, en l’occurence à l’expérimentation scientifique.
En quoi, José Bové à été condamné, et c’est une bonne chose.
Mais si la condamnation pénale est une chose, la comdamnation morale et la réprobation collective
se doivent d’accompagner la sentence.
Or là, c’est tout le contraire, la justice - qui fait son travail - et mise en défaut, et c’est elle qu’on juge dans
l’erreur, face à un José Bové qu’on présente comme un Martyr, défendant la societe.
Mais ce probleme n’est pas propre à José Bové,
la déliquence est désormais souvent percue comme un signe
de mal être et de probleme sociaux, dans la laquelle
l’agresseur est percue comme une victime de la societe
,la victime comme un symbole de cette dire societe,
et le délit en lui même comme un acte de réajustement.
Certes, il y a toujours eu des décisions de justice,
mais de nos jours, il existe une décalage profond
entre une justice qui sanctionne mécaniquement des actes illégaux,
et un jugement social collectif qui s’applique sur un comportement.
Cordiallement.