Notre civilisation est préoccupée avant tout par le profit et donc tout découle de là y compris l’avarice, la fraude, la prévarication, la corruption, ..., bref la perversion humaine.
Dans un conte, l’Homme aux quarante écus, Voltaire parle des physiocrates, ceux de notre pays, à notre époque, sont à Bercy et dans les hémicycles.
Il est impossible de s’enrichir sans exploiter son prochain, l’homme ordinaire, volontairement ou contre son gré, vit soit directement du fruit de son travail, soit d’une rémunération accordée (chichement) par un employeur ; le riche lui travail à récupérer le plus possible à son profit ce que produit l’homme ordinaire, et il en aura jamais assez.