Qu’on soit bien clair, ce que je veux dénoncer dans cet article, ce sont les méfaits absolus d’une campagne de presse et de l’incurie de la hiérarchie de la SNCF.
Le comble étant que personne réglementairement n’a quoi que ce soit à reprocher au contrôleur et qu’au final, la pantoufle Pepy va se confondre en excuses en son nom, parce que la presse a fait ses choux gras d’une anecdote.
Il n’y a donc plus de syndicats qui tiennent debout dans cette boîte pour renvoyer Pepy et ses sbires à leurs fumeuses théories en laissant les personnels d’exécution faire leur boulot...