@Indelocalisable
Le patronat à les syndicats qu’il mérite.
Non, pas ceux qu’il mérite, cela serait trop dangereux, mais ceux qu’il achète.
Facile a reconnaitre, ils virent au jaune, mais surtout la fin de carrière de leurs dirigeants est toujours récompensé.
Voyez ce que sont devenu les notats, chereques et compagnie après leur destruction réussie.
par exemple :
https://blogs.mediapart.fr/jean-bachelerie/blog/120213/nicole-notat-une-reconversion-exemplaire-suite
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/11/12/97001-20101112FILWWW00603-le-siecle-nicole-notat-presidente.php