Un Persan à Paris :
Étrange pays que la France.
D’un côté, au motif que la liberté d’expression ne saurait souffrir de restriction, on vous somme d’être Charlie et de lire religieusement (si j’ose dire) des diatribes qu’en bon Persan je juge blasphématoires.
De l’autre, on y prêche une sorte d’autodafé pour une partie de l’oeuvre d’un certain Céline.
Le peuple de ce grand pays est-il si niais qu’il faille le guider tel un âne dans le chemin de ses lectures ?