Merci pour ces remarques.
J’ajoute que si le gouvernement actuel engage ce genre de consultation, on peut se douter que ce soit à des fins de communication, une manière d’obtenir des données et de recadrer l’approche dans les discours.
Car mettre fin à la pauvreté n’est qu’une question de choix. Je rappelle que la taxation des flux financiers à hauteur de 5% (0.3% actuellement) permettrait de mettre en place un
revenu d’existence (1000€-1200€ par personne, de la naissance à la mort), un projet politique et social qui ne répond pas seulement à la fin du plein emploi.