Le problème du mal est inséparable de celui du libre-arbitre.
Dieu pourrait faire que l’homme soit totalement bon par nature, mais cela supposerait qu’il lui impose un comportement et n’en ferait qu’une sorte d’extension de Lui-même. Or ce n’était pas son intention, et tout dans les écritures le montre.
Jésus-Christ propose un comportement, comme exemple incarné du bien, mais jamais il n’en impose un. Il fait toujours appel au libre-arbitre et à la conscience humaine qu’il cherche à éveiller. La possibilité du mal et de l’égarement sont inhérents à la possession d’un libre-arbitre.