@Salade75
désolé mais je vais encore commencer par un resenti sur votre prose :
les arguments que vous développez ci-dessus sont faibles et m’évoquent une seiche qui fuit en crachant un nuage d’encre pour enfumer son poursuivant.
Oui, vous avez raison,
les trains roulent mais pas les téléphones, donc la pression du gaz dans les tuyaux de GDF ne peut pas être imputable à des « coups bas » de Bruxelles.
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Restons sérieux et évitons les procédés manipulatoires.
Vous n’avez pas invalidés mes arguments, qui forment un tout cohérent et factuel, assis sur un déroulé historique qui donne le sens de l’histoire = les gouvernement européens sont sommés par l’U.E. de privatiser, l’un après l’autre, les entreprises/monopoles d’Etat.
Par contre, vous tergiversez, vous coupez les cheveux en quatre, vous chercher à vous extraire du champ de la contreverse en expliquant que votre sujet n’est pas le fruit mais le 3ème pépin en partant de la droite et que lui - ce pépin- n’a pas exactement la même forme que ses congénères.
C’est assez risible.
Je vous rappelle au passage que des entreprises telles que Saint-Gobain, les autoroutes, EDF-GDF, la Française des Jeux (prochainement), ... rapportaient bcp d’argent dans les caisses de l’Etat et qu’elles rapportent à présent bcp d’argent à quelques bénéficiaires privés, tandis que les caisses de l’Etat n’ont plus que nos impôts pour se garnir
= une entreprise publique qui fournit à l’Etat une source de revenu (qui sera autant de moins à prélever par l’impôts), moi je considère qu’à défaut d’être un service public à proprement parler, cela peut néanmoins être considéré, par cet aspect, comme d’utilité publique.
Cela, l’UE n’en veut pas, n’en veut plus.
Il ne s’agit pas de « coup bas », il s’agit du déroulement d’un plan dont on peut prendre connaissance en se penchant sur l’historique des « Grandes Orientations des Politiques Économiques » (GOPÉ) de l’UE.
Concernant plus spécifiquement la destruction de la SNCF en tant que Service Public, on peut notamment se reporter à cet article, publié sur le site de l’UPR : ici