Fable ne faisant qu’exprimer la compassion dévoyée dont souffre précisément l’élite.
Cette présentation de la société n’a rien à envier à la pire propagande populiste, et il faut vraiment n’avoir aucune autre connaissance de la pauvreté que celle propagée par Rousseau ou les romans de Zola dont les bobos ont fait leur bréviaire, pour ignorer à ce point que dans le “bas peuple” règnent les mêmes défauts humains que dans l’élite, et que les différences ne sont qu’affaire d’échelle.