j’ai vécu entourée de femmes dites au foyer et qui ne s’en sont jamais plaintes. Bien au contraire,....Trouvant le temps de se consacrer à d’autres activités dans lesquelles elles s’épanouissaient tout autant (maîtresses chez elle). Mais bon ! c’était une autre époque et la venue d’un enfant était vécue comme le plus beau des cadeaux. Je dois être en total décalage. C’étaient plutôt les hommes qui étaient à plaindre. Obligés d’aller à la guerre. D’être confrontés au dur combat de la vie. Je suis féministe, certes, dans l’esprit le plus ancestral. Proche des petits bonheurs quotidiens. regardant de loin les entreprises paranoïaques de l’homme dévoyé.