Plutôt que 40 ans après l’exercice du pouvoir présidentiel,
il serait bien que les politiciens aient conscience de leurs décisions pendant
qu’ils exercent ce pouvoir. Mais constater cela aujourd’hui n’est plus
suffisant.
Hier les citoyens avaient à se débarrasser, en toute
occasion donnée par des élections nationales
ou locales, des nouveaux négationnistes qui nient l’extrême dangerosité de
l’islam.
Aujourd’hui c’est de tous les politiciens qui ne sont pas pour l’interdiction de
l’islam en France qu’il faut se débarrasser. Et cela quelle que soit leur
étiquette : gauche, droite, extrême gauche, extrême droite ou prétendu
« centre ».