Une étude aux chiffres farfelus, comme pour la disparition des insectes, qui ne sera vérifiée par personne
Pauvre con. J’habite au même endroit quasi depuis ma naissance, cela fait plus de 60 ans, il n’y a quasi plus de faune, d’insectes de toutes sortes : carabes, pince-oreille, grand machaon, fourmis, abeilles, sauterelles, grillons..
Tout a foutu le camp et les oiseaux idem. (Je n’entends plus le chant de le hulotte la nuit, un crève-cœur)
Ce qui résiste encore est en nombre grandement diminué.
Même les moustiques deviennent absents.
Je suis allé dans des îles paradisiaques, en théorie à l’abri de toute pollution. Le guide local, natif de la région constatait tout comme moi, une très nette dégradation, par rapport à ses souvenirs d’enfance.. Il en pleurait presque avec une voie altérée car il comprenait très bien que cela allait s’accentuer.. Pas besoin de rapport du GIEC pour constater de visu ce qui est une évidence...
Je n’ai pas lu votre texte mais je l’ai parcouru suffisamment pour voir l’extrême perversité de votre discours.
En gros il faut encore plus de science pour nous en sortir car de toute façon le « progrès » est inéluctable. Et de mettre sur le dos des profiteurs les discours alarmistes. Habile. Et pervers.
Car de quoi s’agit-il ? Il s’agit de rompre avec la logique mécaniste de la science actuelle pour se réapproprier la logique du vivant qui est systémique. De renoncer au confort moderne excessif pour se tourner vers une sobriété plus compatible avec ’essence du vivant.
De façon claire vous êtes un entubeur professionnel véhiculant de vieux discours mortifères.