« Qu’ont fait les classes gouvernantes en faveur des pauvres ? Qu’ont-elles fait pour rendre les impôts moins lourds à ceux qui gagnent le moins, pour faire la part à peu près égale à tout le monde dans l’immense développement de la richesse publique ? Vous ne comprenez pas qu’on fasse des révolutions ? Dites-vous. Lisez quelques lignes qui résument les produits des divers revenus du pays et vous verrez combien le législateur frappe le nécessaire des uns et épargne le superflu des autres. Les Chambres françaises ont été profondément égoïstes. Elles ont favorisé constamment leurs parents, leurs amis, leurs égaux ».
Il y a des mots qui ne vieillissent pas.