Je me suis protégée jusqu’à aujourd’hui, et pas seulement à cause de ton article Olivier, de l’insoutenable réalité.
Je n’ai strictement rien à dire devant le massacre de l’Amazonie, qui date de loin déjà, si ce n’est qu’il est hallucinant d’en arriver là, au pire, tandis qu’on aurait pu espérer une conscience ( et j’oserai le mot : un amour pour notre monde) accrue pour la décrue du massacre.
Mais non on passe du massacre à l’horreur sans nom.
Sinon Olivier, merci de nous prouver que le blog de Mediapart est moins censeur que notre site Agoravox ; je dois dire que ça me reste en travers de la gorge ! Mais cela ne semble gêner personne !